Fondé en 2011, le service Alumni de Skolae réunit plus de 40 000 Alumni.
Son objectif : créer une grande communauté multisectorielle d'Alumni pour faciliter l'entraide professionnelle et retrouver la nostalgie de vos années d'études.
Pour cela des évènements festifs et professionnels ainsi que des rencontres sont mis en place par le Service.
Une fois que vous êtes diplômés, nous sommes à votre disposition pour toutes demandes concernant la récupérations de documents officiels.
Cabinet Alumni
Ce service a pour vocation d’animer la communauté des jeunes diplômés du Réseau GES. Organisé sur le modèle d’un cabinet de recrutement, l’équipe est composée de consultants spécialisés.
- Valentin Fries Ingénieur de développement Lire<>
Valentin Fries
Valentin FriesIngénieur de développementPrésentez-vous-en quelques mots…
J’ai 23 ans et je viens d’obtenir mon Mastère en Architecture des Logiciels à l’ESGI. Durant ma formation j’ai travaillé en tant que développeur pendant un an au sein de la DSI de Capgemini France, puis 2 ans au sein de la DSI du Réseau GES. À partir du mois d’octobre, j’intégrerai La Combe du Lion Vert en tant qu’ingénieur de développement.
Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation :
J’ai intégré l’ESGI en 2013 suite à un baccalauréat littéraire, spécialisé en arts plastiques. À l’époque l’alternance n’était possible qu’à partir de la 3ème année, je suis donc entré en cycle continu pour les deux premières années. Pour le Bachelor et le Mastère, je me suis spécialisé en Architecture des Logiciels.
Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
Les deux premières années à l’ESGI peuvent être vues comme une sorte de « prépa intégrée », qu’elles soient effectuées en cycle continu ou en alternance. À l’issue de ces quatre semestres, on dispose d’un aperçu des matières proposées dans l’ensemble des spécialisations possibles à partir de la 3ème année, ce qui permet à chacun de choisir son orientation en toute connaissance de cause.
De manière générale concernant le contenu pédagogique, le gros plus selon moi est la capacité d’écoute et la recherche de feedback de notre Directeur Pédagogique, responsable des 1ère et 2ème années, et des spécialisations Architecture des Logiciels, Mobilité et Objets Connectés et Ingénierie du Big Data. De nombreuses fois en cinq ans il est venu recueillir nos avis concernant la qualité de l’enseignement – contenu pédagogique et intervenants –, cherchant à comprendre et à répondre au mieux à nos attentes vis-à-vis du programme, année après année.
De nombreux intervenants de l’ESGI sont des professionnels actifs, et de plus en plus d’anciens étudiants viennent renforcer cet effectif. Cela permet d’avoir un enseignement théorique guidé par la pratique. En effet l’école applique une pédagogie par projet de groupe, ce qui est une bonne manière d’appliquer nos acquis et d’assimiler les notions travaillées.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’études au sein de l’ESGI ?
Plus qu’un souvenir, une impression. En 1ère année j’étais face à un ensemble de connaissances à assimiler et cela semblait parfois insurmontable. J’ai maintenant le sentiment que tout s’est fait de manière fluide, que mon socle de connaissances s’est construit petit à petit, par la pratique. Bien sûr j’ai parfois souffert de la charge de travail induite par les nombreux projets à réaliser en parallèle, mais je pense que cette méthode de travail m’a permis « d’apprendre à apprendre » efficacement
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
En rétrospective je ne regrette pas de ne pas avoir fait d’alternance dès le début de ma formation. Celle-ci a un coût, bien entendu, et l’alternance est une merveilleuse opportunité permettant à tous d’accéder à l’éducation supérieure.
Cependant je discute avec des étudiants en 1ère et 2ème année et je constate qu’il n’est pas facile de trouver une alternance quand on a peu d’expérience, et encore moins une alternance intéressante et enrichissante pour l’étudiant, personnellement comme professionnellement. Je sais que certains étudiants ont abandonné la formation car ils ont été dégoûtés de l’informatique non pas à cause de la pédagogie de l’école mais à cause de missions inintéressantes ou d’un environnement de travail dans lequel ils ne s’épanouissaient pas.
Je pense qu’il est important d’en avoir conscience quand on s’engage dans une formation en alternance dès la première année ; arrivé en Bachelor ou Mastère on sait qu’on s’engage à priori sur une voie qui nous convient avec de bons outils à notre disposition ; en 1ère année on n’est pas forcément certain d’avoir fait le bon choix professionnel, et le manque de connaissances dans certains domaines peut être un frein à l’épanouissement dans un environnement professionnel parfois hostile.
À côté de ça de nombreux jeunes étudiants en alternance s’épanouissent complètement dans leur entreprise et c’est réjouissant de le constater. Tout est question de personnalité et de volonté j’imagine.
Au-delà de tout ça, il y a un conseil que je donne tout le temps quand on me pose cette question : amusez-vous, faites ce qu'il vous plaît et vous irez au bout du monde. C’est sûrement un peu mièvre mais c’est le plus important à mes yeux. J’ai des camarades et amis pour qui il ne s’agit que d’un métier « alimentaire », et je respecte leur décision. Mais comment tirer un profit personnel d’une situation professionnelle s’il n’y a pas de joie à sa mise en œuvre ?
Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Bien sûr ! Certains d’entre nous nous connaissons depuis la 1ère année ; d’autres nous on rejoint durant le Bachelor ou le Mastère. Nous sommes quatre de ma promotion de 5ème année à aller travailler ensemble dans la même entreprise à l’issu de notre cursus. Ce sont de véritables amitiés qui se sont développées au fil des années.
Avez-vous rencontré des difficultés lors de vos entretiens d’embauche ? Si oui lesquelles ?
Les premiers entretiens ne sont jamais faciles. On stresse, on ne sait pas forcément quoi dire, et au début on doute beaucoup de ses capacités. Comme en toute chose, la maîtrise vient par la pratique. Quelques cours sont dédiés à ça durant les deux premières années, puis certains ateliers en début d’année scolaire permettent de travailler les entretiens d’embauche et le « networking », si on le souhaite. Même si l’on n’est pas en recherche d’emploi, il est toujours possible d’aller s’entraîner aux entretiens en participant aux Speed Meeting organisés par l’école. En fin de compte, il s’agit simplement d’une question de confiance en soi.
Votre formation vous a-t-elle permis d’atteindre vos objectifs professionnels ?
Ma formation m’a permis de savoir ce que je souhaitais professionnellement, et m’a fourni les outils nécessaires pour orienter ma carrière dans toutes les directions ; à moi d’atteindre mes objectifs à présent.
Quelles sont vos perspectives d’évolution professionnelles ?
Qu’entend-on par évolution ? Nos perspectives sont illimitées, à nous d’induire le mouvement dans la direction souhaitée.
- Lova RAKOTOZAFY IT Auditeur Lire<>
Lova RAKOTOZAFY
Lova RAKOTOZAFYIT AuditeurPrésentez-vous-en quelques mots…
Bonjour, je m’appelle Lova RAKOTOZAFY. J’ai actuellement 22 ans et je viens d’être diplômé de l’ESGI.
Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?
J’ai intégré l’ESGI en Septembre 2016 dans le but d’obtenir un Mastère "Management et Conseil en Systèmes d’information" avec comme Majeure "Projet international"
Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
Pour commencer, je dirais que l’alternance est l’atout majeur de la formation ainsi que les partenariats que l’école a pu développer avec de grandes multinationales. Ensuite, le corps enseignant s’améliore d’année en année et le Mastère "Management et Conseil en Systèmes d’information" est en totale adéquation avec le marché du travail.
Quels souvenirs gardez-vous de vos années d’études au sein de l’ESGI ?
De très bons professeurs, maîtrisant parfaitement leurs domaines respectifs, une école dynamique poussant à l’excellence et une alternance réussie au sein du Crédit Agricole.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
Le Mastère "Management et Conseil en Systèmes d’information" permet d’obtenir de solides bases en systèmes d’information. Il ne faut pas hésiter à poser des questions aux professeurs, à les ajouter sur les réseaux sociaux professionnels, à contacter les anciens élèves et pour finir, à approfondir les cours de son côté.
Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Je garde contact avec une partie de mes camarades. D’ailleurs, je travaille dans la même entreprise qu’un ancien camarade de classe. J’ai aussi noué des liens avec d’anciens élèves qui m’ont permis d’améliorer mes compétences.
Concernant votre parcours professionnel :
Concernant mon parcours, j’ai obtenu mon Baccalauréat Scientifique. Souhaitant continuer dans une voie scientifique, j’ai obtenu une Licence MIAGE, "Méthodes Informatiques Appliquées à la Gestion d’Entreprise", à l’université Paris Descartes.
Pour valider ma Licence, j’ai effectué un stage chez Air Liquide me permettant de découvrir le management appliqué aux systèmes d’information.
Ensuite, j’ai suivi le Mastère "Management et Conseil en Systèmes d’information" à l’ESGI dans le but de me spécialiser dans le pilotage des systèmes d’information en collaboration avec le Crédit Agricole, pour qui j’ai participé à la création d’une plateforme stratégique B2B.
Avez-vous rencontré des difficultés lors de vos entretiens d’embauche ? Si oui lesquelles ?
Bien sûr, j’ai dû travailler sur mon temps libre pour perfectionner mes connaissances sur les différents référentiels pour passer les certifications.
Votre formation vous a-t-elle permis d’atteindre vos objectifs professionnels ?
Oui, la formation m’a bien préparé et m’a permis d’intégrer l’entreprise que je souhaitais.
Parlez-nous de votre poste (CDI, mission…)
Aujourd’hui, je travaille chez PwC – PriceWaterhouseCoopers . C’est un cabinet d’audit appartenant aux Big Four présent dans plus de 150 pays à travers le monde.
J’y ai signé en CDI pour devenir "Auditeur Junior - Business Unit" dans leurs bureaux parisien situés à Neuilly-Sur-Seine.
- Outhmane ABOUDAMIR Senior Consultant Lire<>
Outhmane ABOUDAMIR
Outhmane ABOUDAMIRSenior ConsultantPrésentez-vous en quelques mots…
Bonjour, je m’appelle Outhmane ABOUDAMIR, diplômé de l’Ecole Supérieure de Génie Informatique – ESGI promo 2017.
Je suis Consultant expérimenté de la practice Entreprise application chez Deloitte.
Ambassadeur talents et responsable d’un programme de recrutement des meilleurs profils juniors et expérimentés pour le pole Technology de Deloitte.
Quand avez-vous intégré l'ESGI et pour quelle formation ?
J’ai intégré l’ESGI en 2015 pour compléter mon parcours académique par un Mastère en Management et Conseil des Systèmes d’Information.
Quels ont été d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
La formation MCSI à l’ESGI m’a permis de développer des compétences et des softs skills inhérents et indispensables au métier du conseil : un très bon esprit analytique et de synthèse, de la rigueur, de la créativité / innovation et une bonne capacité d’adaptation.
Une formation basée sur des modules qui s’adaptent avec les besoins du marché et aussi avec les nouvelles tendances technologiques.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’études au sein de l’ESGI ?
En écrivant ces quelques lignes, un souvenir en particulier me vient en mémoire...
Le verre du vendredi soir avec les collègues après une longue journée de présentation en comité projet... L’ESGI nous a permis d’apprendre et de nous développer tant sur le plan personnel que professionnel.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
En plus de développer ses connaissances métiers et techniques, j’estime que les meilleurs conseils que je puisse vous donner sont les suivants :
- Travailler son Pitch ! Savoir se vendre et se raconter est indispensable pour la suite de votre insertion professionnelle.
- Développer ses softs skills : bonne prise de parole en public, storytelling et confiance en soi !
Ainsi la citation de Milan Kundera prend tout son sens : « Ce qui distingue l'autodidacte de celui qui a fait des études, ce n'est pas l'ampleur des connaissances, mais des degrés différents de vitalité et de confiance en soi »
Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Nous sommes tous connectés grâce aux réseaux sociaux. Pour certains, les camarades d’école d'autrefois sont devenus les très bons amis d'aujourd’hui !
Avez-vous rencontré des difficultés lors de vos entretiens d’embauche ? Si oui lesquelles ?
Aucune difficulté rencontrée lors des entretiens d’embauche grâce à la préparation et aux conseils des professionnels de notre école.
Votre formation vous a-t-elle permis d’atteindre vos objectifs professionnels ?
En sortie d’école, mon objectif premier était d’intégrer un cabinet de conseil du Big4... Aujourd’hui j’ai pu atteindre cet objectif en grande partie grâce à ma formation qui m’a apporté les compétences nécessaires pour les carrières de haut niveau.
Parlez-nous de votre poste...
J’ai rejoint Deloitte - premier cabinet mondial d’audit et de conseil - en tant que consultant junior en 2017.
J’ai commencé ma carrière dans le secteur de la défense et de la sécurité par un poste de responsable des processus financiers liés aux normes IFRS (les normes IFRS sont les normes internationales d’Informations Financières destinées à standardiser la présentation des données comptables échangées au niveau international).
Aujourd’hui, je suis responsable d’un programme de transformation ERP de l’un de nos clients leader mondial du transport et de la Supply Chain.
Nous intervenons, mon équipe et moi, sur toutes les phases du projet : de la stratégie jusqu’à la mise en œuvre de la solution. Pour illustrer, en conception, je participe aux ateliers, j’anime et recueille les besoins de mon client. Ensuite, je fais l’interface entre ce besoin client et les équipes de développement informatique et j’accompagne enfin la mise en place de la solution en apportant mon expertise métier et mes connaissances techniques.
- Léon DENISE Auto-entrepreneur Lire<>
Léon DENISE
Léon DENISEAuto-entrepreneurPrésentez-vous-en quelques mots…
Je suis artiste programmeur. Je dessine des fanzines, réalise des jeux vidéo et code des effets visuels. J’utilise les outils du jeu vidéo pour explorer et expérimenter de nouvelles manières de percevoir les réalités. Je fabrique de l'art génératif et interactif qui réagit en temps réel. - Mon Portfolio
Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation :
J’ai intégré l’ESGI en 2012 pour le mastère Ingénierie de la 3D et des Jeux Vidéo.
Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
J’ai suivi la formation après avoir été diplômé de l’ICAN, école de Jeux Vidéo qui fait partie du Réseau GES. Mes connaissances en programmation étaient confuses et incertaines, j’avais davantage de compétences en modélisation et animation 3D.
Malgré mes lacunes lors de mon intégration en 4ème année, la formation m’a permis de prendre confiance sur ma capacité à programmer ainsi que de gérer les responsabilités d’un ingénieur. C’est-à-dire être capable de résoudre un problème avec une solution créative.
L’alternance m’a aussi permis de mettre un pied dans le monde professionnel avant la fin de ma formation, ce qui a favorisé l’accès au monde du travail après mon diplôme.Quel souvenir gardez-vous de vos années d’études au sein de l’ESGI ?
Mes souvenirs au sein de l’ESGI sont liés aux différentes personnalités qui animaient l’équipe pédagogique et mes camarades de classe. Enseigner la fabrication de jeux vidéo est récente et, encore aujourd’hui, est quelque chose de difficile, il n’y pas de solution miracle. Nous étions peu d’étudiants à l’école ayant choisis cette formation, et cela créait un sentiment familial.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
J’imagine que la formation a évolué depuis 2014, l’année de mon diplôme, donc au-delà des conseils évidents, et sachant qu’aujourd’hui j’enseigne en plus de travailler, je dirais qu’il ne faut pas hésiter à créer un échange entre l’enseignant et les étudiants. Ne pas s’imposer cette barrière entre le maître d’école et les élèves passifs. D’autant qu’aujourd’hui, certains étudiants en savent plus que le professeur. Les enseignants doivent délivrer une somme de connaissances, mais le vrai savoir est souvent dans la réponse aux questions des étudiants. Mon conseil est donc : participez, rendez le cours vivant en créant un terrain d’échange.
Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Je n’ai pas gardé contact avec tout le monde, mais je revois régulièrement plusieurs personnes lors d’apéros. J’ai aussi collaboré et travaillé avec d’autres.
Avez-vous rencontré des difficultés lors de vos entretiens d’embauche ? Si oui lesquelles ?
Je n’ai pas rencontré de difficultés lors mes entretiens d’embauche. L’alternance m’a permis de rentrer dans le monde du travail et de créer des contacts.
Votre formation vous a-t-elle permis d’atteindre vos objectifs professionnels ?
Oui, même si mes objectifs professionnels étaient flous lors de ma formation. Je sais désormais après plusieurs années à travailler que mon objectif n’est pas de gagner beaucoup d’argent, mais d’avoir beaucoup de temps libre. Mon statut de programmeur freelance me permet cette situation dans laquelle je travaille peu tout en gagnant bien ma vie, pour profiter de mon temps libre.
Parlez-nous de votre poste (CDI?, mission…)
A la sortie de mon études, j’ai intégré mon entreprise d’alternance : DV Mobile (Désormais DV group). Après deux ans de CDI, j’ai décidé de me lancer en auto-entrepreneur car, comme expliqué précédemment, je favorise le temps par rapport à l’argent. Je suis resté quelques mois au chômage afin de préparer mon activité, notamment au travers du partage d’images sur les réseaux sociaux.
Je suis actuellement programmeur freelance. Je travaille principalement avec les shaders, du code qui permet de créer des effets spéciaux en temps-réel comme des filtres d’image, des distorsions spatiales, des animations de nuage de particules, etc.
Je travaille pour des entreprises qui créaient des expériences en réalité virtuelle, des artistes qui souhaitent créer des performances numériques, des studios de jeux vidéo qui ont besoin d’un coup de main sur un effet visuel.
Je donne aussi des cours dans des écoles de jeux vidéo, ou pour des formations dans des entreprises ou avec des particuliers.
Je n’ai pas le confort financier d’un CDI, mais mon statut de freelance me permet de développer mes projets artistiques et de construire des communautés autour de mes passions. Ainsi, je suis co-organisateur d’un festival qui mélange art numérique, jeux vidéo et demoscene : la Cookie Demoparty.
Ma double formation à l’ICAN et à l’ESGI m’a permis de cumuler deux compétences : l’art et le code. Deux compétences aujourd’hui très recherché dans les milieux de l’informatique, de la culture et de l’innovation. - Joey BRONNER Développeur web et mobile Lire<>
Joey BRONNER
Joey BRONNERDéveloppeur web et mobilePrésentez-vous-en quelques mots…
Joey Bronner, 29 ans, développeur web & mobile chez SAP.Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation :
J’ai intégré l’ESGI en 2014 pour suivre le Master en Génie Logiciel (2 ans).
Quels ont été d’après vous, les vrais plus de la formation que vous avez suivie ?
Les plus de cette formation ont été :
1. La possibilité de faire la formation en alternance qui permet d’acquérir de l’expérience en entreprise tout en obtenant les diplômes recherchés par le marché. Et cela nous permet également de gagner notre vie étant donné que l’on touche un salaire.
2. Les professeurs sont pertinents : ce sont souvent des intervenants (des professionnels) et ont donc une approche « delivery » : ils nous poussent à produire, à « mettre les mains dans le cambouis » et sans ça on apprend beaucoup moins bien / vite.Quel souvenir gardez-vous de vos années d’étude au sein de l’ESGI ?
Mes années à l’ESGI correspondent à mes premières années à Paris donc forcément elles sont géniales : Paris est une ville magnifique, remplie de belles opportunités professionnelles.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
Mon conseil aux étudiants c’est de « productiser » tout ce qu’ils développent pendant leur cursus à l’ESGI : écrire des blogs, publier des choses qu’ils ont appris en cours, mettre en open source les projets / exercices réalisés en cours et publier des applications sur leur portfolio ou sur les stores. Ce sont des éléments retenus par les recruteurs et c’est toujours plus vendeur d’avoir des choses tangibles à montrer.Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Oui j’ai gardé contact avec certains de mes camarades, que ce soit pour « faire des foots » ou pour le travail : on a tous pris des chemins différents, certains ont monté leur startup, d’autres ont été recrutés dans de belles entreprises.Concernant votre parcours professionnel :
Avez-vous rencontré des difficultés lors de vos entretiens d’embauche ? Si oui lesquelles ?
Je n’ai pas passé d’entretien depuis ma sortie de l’école (j’ai été embauché pendant mon alternance chez SAP).Votre formation vous a-t-elle permis d’atteindre vos objectifs professionnels ?
Aujourd’hui je suis très content de mon parcours pro : ma formation à l’ESGI m’a permis d’acquérir de solides compétences qui sont nécessaires pour obtenir un bon emploi à la sortie de l’école. En revanche, il ne faut pas oublier d’ajouter une touche de curiosité et de veille technologique parce que les cours théoriques ne peuvent pas couvrir « tout » ce qu’on peut trouver sur le marché.
Parlez-nous de votre poste (CDI?, mission…)
Je suis embauché en CDI chez SAP depuis 5 ans et je travaille actuellement sur des projets de co-innovation avec des partenaires et des clients SAP : en bref je m’éclate à développer de POCs (Blockchain, Machine Learning, Chatbots, etc…) sur des cycles de développements « courts » de 3 mois : peu de maintenance et beaucoup de créativité.
Niveau technologie j’aime la fullstack Javascript : Express, NodeJS, ReactJS ou React Native. - Vincent Hacquard Responsable E-commerce & digital Lire<>
Vincent Hacquard
Vincent HacquardResponsable E-commerce & digitalPrésentez-vous-en quelques mots...
Je suis Vincent Hacquard, 30 ans, responsable e-commerce & digital chez Burton of London
Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?
J’ai intégré l’ESGI en 2012 afin de faire un Mastère en Management et Conseil en Systèmes d’Information.
Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
Le premier avantage, c’est l’aspect généraliste. Nous avons abordé l’ensemble des situations que rencontre un Chef de Projet dans le monde du travail : la planification, les budgets, la gestion du changement, l’aspect organisationnel etc… J’ai eu la chance d’avoir une alternance vraiment cohérente avec ma formation, ce qui m’a permis d’appliquer directement en entreprise ce que j’apprenais et inversement.
Ensuite, c’est la notion de Projet. Il n’y avait quasiment pas d’examen sur table, chaque cours nécessitait un travail en équipe et se terminait par une restitution devant les professeurs. Vis-à-vis du métier qu’on allait faire, c’était un format très constructif. Sur le marché du travail, on nous demande de construire et mettre en œuvre un plan d’action qui découle d’une stratégie en prenant en compte les contraintes, pas de restituer un texte appris par cœur.
Aujourd’hui, c’est mon quotidien, je dois rendre des comptes à ma direction en permanence. Ma formation m’aide énormément dans la conception, la mise en œuvre, l’analyse et la « vente » de mes projets.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’étude au sein de l’ESGI ?
J’en garde un très bon souvenir. Que ce soit les professeurs, l’école, les cours ou le BDE, j’ai beaucoup aimé ce que j’étudiais et les conditions qui allaient avec.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
La formation est déjà très complète, le seul conseil : si vous n’êtes pas bilingue, travaillez au minimum une ou deux langues et ciblez des entreprises à dimension internationale. Dans nos métiers aujourd’hui, si vous voulez être à l’aise dans vos recherches, l’anglais devient obligatoire et une langue supplémentaire est un vrai plus.
Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Oui quelques-uns.
Avez-vous rencontré des difficultés lors de vos entretiens d’embauche ? Si oui lesquelles ?
Depuis l’obtention de mon master, j’ai trouvé sans difficulté 2 CDIs. Mon réseau et le fait d'avoir monté une start-up entre mes 20 et mes 25 ans m’ont beaucoup aidé.
Dernièrement, j’ai trouvé un autre CDI que je vais démarrer prochainement, mais celui-là a été plus compliqué à obtenir. Deux obstacles :
- L’entreprise dans laquelle je travaille ne se développe qu’en France, or maintenant, les entreprises recherchent des candidats bilingues qui ont déjà déployé des projets ou géré des sites dans d’autres pays (Allemagne, USA, Asie…)
- J’ai obtenu mon poste de manager très jeune (à 27 ans). Pour trouver le même poste dans d’autres entreprises, il me manque encore quelques années d’expérience. A titre d’exemple : avec 3 ans en tant que manager, je suis désormais crédible sur ce poste, mais pour être meilleur dans les phases de recrutement, il me faudrait encore 2-3 ans supplémentaires.Votre formation vous a-t-elle permis d’atteindre vos objectifs professionnels ?
Complétement.
Parlez-nous de votre poste (CDI?, mission…)
Je suis responsable e-commerce et digital chez Burton of London, en CDI, depuis 4 ans maintenant. Mon objectif est de développer le chiffre d’affaire online ainsi que l’image de la marque sur le web. Pour ce faire, j’ai une équipe de 6 personnes : une e-store manager, un trafic manager, une responsable de service client, un chef de projet, un chargé de CRM et un assistant e-commerce. Je travaille aussi bien sur la commercialité du site (mise à jour des bannières, pilotage des stocks…), que la communication (Google Ads, Affiliation, Social Media), le CRM (campagne emailings, segmentation clients, fidélisation) et les chantiers de transformation digitale.
En 2018, nous avons initié un chantier de transformation digitale réparti en plusieurs étapes :
- 2019 : objectif : consolider le taux de transformation online / Projets : refonte du site (créa + CMS) et mise en place d’un PIM
- 2020 : objectif : développer la visibilité de la marque et consolider l’écoulement des stocks / Projets : lancement sur les marketplaces (La Redoute, Zalando, Amazon, Asos) et mise en place d’un outil de stock unifié
A terme, l’objectif est de développer l’omnicanalité avec la digitalisation des points de vente (tablette vendeur…) et le web-to-store. - Mouhédine Habache Responsable du Security Engineering Center Lire<>
Mouhédine Habache
Mouhédine HabacheResponsable du Security Engineering CenterPrésentez-vous-en quelques mots…
Mouhédine Habache, je suis de la promotion 2014 de l’ESGI. J’ai effectué l’ensemble de mon parcours scolaire (5 ans) à l’ESGI et je fais partie de la première promotion du Mastère Sécurité des Systèmes d’Information. Actuellement, je suis responsable du Security Engineering Center de la société CONIX.
Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?
En 2009, j’ai intégré l’ESGI pour une formation initiale de deux ans, puis un bachelor Systèmes, Réseaux et Sécurité, suivi d’un stage de fin d’année au sein de la société Kellogg’s. J’ai ensuite intégré la filière Sécurité des Systèmes d’Information pour un Mastère que j’ai obtenu en 2014. Durant les deux ans de mon Mastère, j’ai fait mon alternance au sein de la société Waisso.
Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
L'avantage de la formation est sans conteste les intervenants, qui sont souvent des professionnels. En effet, avoir une expérience qui est proche de ce que nous allons vivre lors de nos futures missions est une belle plus-value.
Cela nous a permis de conjuguer le côté théorique de la formation avec les enseignants d’une part et, d’autre part, le côté pratique avec les professionnels, une opportunité qui n’est pas accessible à toutes les écoles supérieures.
Quel(s) souvenir(s) gardez-vous de vos années d’études au sein de l’ESGI ?
L’union et le lien familial qui est présent. C’est réellement le meilleur souvenir que j’ai de mes 5 années à l’ESGI et plus globalement au sein du réseau GES. Des liens forts que nous gardons encore, même 10 ans après cette expérience.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
C’est assez simple… Prendre du plaisir à apprendre, à découvrir et surtout ne pas avoir peur de l’échec, sont des vecteurs de réussite. Nous avons le modèle Outre Atlantique qui prône ce que l’on nomme la culture de l’échec. Les erreurs sont sources d’apprentissage, d’expérience, et contribuent à nous faire avancer.
L’échec n’est donc pas vu comme une notion péjorative, mais plutôt comme un évènement nécessaire à la construction de la réussite et du succès. Comme le dit si bien le proverbe « C'est en tombant que le cavalier apprend à monter ». C’est également vrai pour les études et le monde professionnel.
Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Oui, énormément. Nous avons vécu presque 5 années ensemble. Comment ne pas garder le lien familial qui a été créé ?
Avez-vous rencontré des difficultés lors de vos entretiens d’embauche ? Si oui lesquelles ?
Non, l’expérience de l’alternance m’a permis d’avoir une vision claire et saine de l’entreprise tout en me permettant de faire mes futurs choix professionnels.
Pour ce qui est des entretiens, je n’ai pas rencontré de difficulté particulière, une bonne préparation est la clé de la réussite.Votre formation vous a-t-elle permis d’atteindre vos objectifs professionnels ?
Oui, pour une première formation « sécurité » que l’on pouvait qualifier d’expérimentale, elle m’a permis d’avoir une vision terrain, appliquée et réelle.
Parlez-nous de votre poste (CDI ?, mission…)
J’ai intégré CONIX en 2014 en tant qu’Ingénieur Réseaux et Sécurité en CDI. Depuis, j’ai eu un parcours très diversifié et en adéquation avec mon profil et mes aspirations : administration, intégration, conseil, etc.
Je suis aujourd’hui responsable du Security Engineering Center de CONIX, alias « SEC », et je pilote une équipe d’une douzaine de personnes. L’entreprise réalise depuis plusieurs années des missions d’expertise technique autour de la sécurité.
En parallèle de cette mission avec CONIX, j’enseigne dans le domaine de la Cyberdéfense dans plusieurs établissements d’études supérieures, dont l’ESGI. - Samuel Antunes Consultant ingénieur DevOps Lire<>
Samuel Antunes
Samuel AntunesConsultant ingénieur DevOpsPrésentez-vous-en quelques mots…
Je m’appelle Samuel ANTUNES, actuellement consultant ingénieur DevOps chez OCTO Technology ainsi qu’auto-entrepreneur. J’ai été diplômé de l’ESGI en 2019 de la filière Ingénierie du Web. Je suis toujours à la recherche de nouvelles aventures et nouveaux défis !
Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?
Je suis entré à l’ESGI en 2014, en post-bac, en intégrant la 1ère année en initial. J’ai commencé l’alternance en 3ème année, au moment où mon choix s’est porté sur la filière Ingénierie du Web.
Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
Essentiellement, je dirais les 2 premières années en initial. Je me rends compte aujourd’hui que ce sont ces années qui m’ont permis d’être un vrai « couteau suisse » dans les projets sur lesquels j’interviens. Cette formation nous permet de comprendre et interagir avec tous les corps de métiers de l’informatique et c’est juste incroyable.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’études au sein de l’ESGI ?
Oh j’en garde beaucoup bien sûr. Beaucoup de très bons souvenirs, comme les personnes que j’ai pu rencontrer, notamment Adrien PAYEN, un très bon ami avec qui j’ai réalisé la plupart des projets de ma scolarité et avec qui je travaille encore aujourd’hui, dans un contexte différent.
Et bien évidemment les innombrables heures passées à travailler sur des projets, parfois même des nuits, on ne va pas se le cacher ! La bonne ambiance de l’école animée par l’équipe du BDE, les événements fous organisés et enfin l’accompagnement, autant des intervenants que de l’administration de l’école.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
Pour ce qui est des deux premières années de l’ESGI, elles sont vraiment très riches en termes de contenus et il est extrêmement important de comprendre que ce sont ces années qui feront la différence entre vous et un autre, surtout que très peu d’étudiants ont la chance de pouvoir passer par les années initiales. Profitez-en vraiment pour en apprendre le plus possible sur tous les sujets (code, sécurité, réseau, l’algorithmique et j’en passe beaucoup d’autres).
Et puis pour la spécialité Ingénierie du Web en 3ème année, je pense que le plus important est de trouver un groupe de personnes qui sont prêtes à s’investir autant que vous pour le travail à fournir. Aujourd’hui, l’informatique est essentiellement un sujet d’équipe et non plus d’une personne qui fait tout toute seule… Enfin peut-être… Si on s’appelle Karl MARQUES hahaha #InsideJoke
Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Bien sûr ! Et beaucoup d’ailleurs ! A ce propos je pars en vacances cet été avec 7 d’entre eux. On est devenus une petite famille qui visite le monde depuis qu’on s’est connus à l’ESGI. Big up à Jeremy, Mohit, Armel, Diego, Gurnav, Tarshan, Rudy #LaSquad
Et puis, au-delà de l’aspect fun, nous ne sommes jamais loin si l’un de nous a besoin d’aide sur un sujet professionnel / technique. C’est assez incroyable d’avoir réussi à garder ce lien même après la fin de nos études.Concernant votre parcours professionnel :
Votre formation vous a-t-elle permis d’atteindre vos objectifs professionnels ?
C’est un peu plus complexe que ça, surtout quand on parle d’objectifs professionnels. Je suis quelqu’un de très ambitieux et, là où j’en suis aujourd’hui, je peux dire que j’ai atteint des « premiers paliers » mais je ne compte pas m’arrêter là !
En tout cas, j’ai eu la chance d’avoir tous les acquis nécessaires pour atteindre ces premières étapes pendant mes études. Cela passe bien évidemment par la vie dans l’école et en grande partie par l’expérience professionnelle que j’ai acquise avec l’alternance. Je pense avoir grandi de façon impressionnante avec ces expériences.
Parlez-nous de votre poste, de vos missions actuelles. (CDI?, mission…)
Je suis en CDI chez OCTO Technology, une entreprise de consulting qui est vraiment géniale. On sent vraiment au quotidien qu’on est important, on nous pousse toujours à être meilleur et à faire partie de la grande communauté de l’entreprise, tant sur des sujets humains que techniques. Cela étant dit, on cherche toujours à recruter de nouveaux talents. Contactez-moi si vous êtes intéressés !
Pour en revenir au sujet, je suis actuellement en mission depuis février 2020, j’interviens sur un projet de refonte d’un tunnel de vente en tant qu’ingénieur DevOps, dans une grande Dev Team Agile de 10 personnes, dont deux profils « DevOps ». Quand on est nouveau sur le sujet, on nous place toujours dans une équipe, accompagné d’un consultant confirmé / sénior afin de rapidement monter en compétence. L’ambiance est vraiment cool, on fait même quelques parties de Valorant avec l’équipe !
Et bien sûr, on en apprend énormément en 3 mois accompagné de professionnels du métier vraiment qualifiés ! C’est d’ailleurs la première partie de mon projet professionnel : en apprendre le plus possible.
Avez-vous travaillé sur un projet qui vous a particulièrement motivé pendant quelques mois ? Pouvez-vous nous en parler ?
Comme je le disais, je suis en mission depuis février 2020 sur un projet de refonte d’un tunnel de vente, l’idée étant de moderniser le tout. On a, pour cela, une équipe Front qui fait le tunnel côté site web, une équipe Back qui travaille sur la création d’une API, elle-même connectée aux Datacenter du client. Dans ce cadre-là, je me place dans l’équipe Ops, dans laquelle nous nous occupons de créer toute l’infrastructure AWS, qui portera le Front et le Back du produit, ainsi que de mettre en place tous les outils DevOps de déploiement continu. Et bien sûr, tout l’aspect Monitoring applicatif & infrastructure. L’enjeu du projet, pour nous Ops, est essentiellement centré sur l’aspect sécurité et performance des applications.
Quels outils/logiciels spécifiques utilisez-vous pour vos projets ? Si vous ne deviez recommander qu’un seul logiciel, lequel serait-ce ?
Au quotidien, je travaille beaucoup avec Terraform qui est incroyable comme technologie ! Pour la partie logicielle, ce sera Visual Code Studio pour ma part, car on a principalement un plugin Terraform qui facilite notre vie d’Ops. Sinon, beaucoup de scripts shell ou python et du YAML !
Quelle(s) avancée(s) technologique(s) attendez-vous avec impatience ?
La PS5 ça compte ? Plus sérieusement, je pense qu’il y a un vrai enjeu Cloud qui émerge aujourd’hui. Je suis curieux de voir comment va évoluer l’offre des différents providers pour répondre aux besoins de confidentialité des données requis par certaines entreprises. Je fais notamment référence au Patriot Act / Cloud Act et comment héberger ses données en « toute sécurité ». Peut-être que la solution est de ramener le cloud chez soi plutôt que d’aller chez lui… Sujet à suivre !
- Maxime Hélaine co-fondateur et CTO Lire<>
Maxime Hélaine
Maxime Hélaineco-fondateur et CTOPrésentez-vous-en quelques mots…
Je suis Maxime HELAINE, aujourd’hui co-fondateur et CTO de la startup Immersive-Ways. Passionné par la découverte de nouvelles compétences, j’ai vite compris que le domaine de l’informatique allait me mettre en contact avec énormément de métiers différents.
Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?
J’ai intégré l’ESGI dès la 1ère année de formation en 2011 et j’ai choisi la spécialisation « Développement 3D et Jeux vidéo » pour la 3ème, 4ème et 5ème année (en alternance pour la 4ème et la 5ème année).
Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
Le fait d’avoir un cursus général les 2 premières années permet de voir l’informatique dans sa globalité et de connaître les métiers principaux. Cela m’a permis de confirmer mon choix de spécialité par la suite. Le deuxième avantage était de pouvoir travailler avec des professeurs compétents et passionnés, et avec des professionnels de l’informatique. De plus, nous faisions énormément de projets chaque année. Cela permet d’appliquer directement nos connaissances, d’apprendre à travailler en équipe et surtout de savoir présenter ses résultats face à un jury. Et enfin l’alternance. Outre le fait d’aider à financer ses études, c’est un moyen efficace d’avoir une première expérience professionnelle et de mettre en application ses compétences.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’études au sein de l’ESGI ?
La disponibilité des professeurs et l’entraide avec les élèves de ma classe. De plus, j’ai pu aider à diriger le labo 3D et c’est avec plaisir que j’ai pu partager ma passion et conseiller des élèves de premier cycle sur la réalisation de leurs projets.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
Ne pas hésiter à discuter avec les professeurs en cas de questionnement, que ce soit sur les cours ou même sur leur métier.
Réaliser à 100% les projets scolaires qui sont passionnants, c’est-à-dire bien finaliser la présentation et la rendre disponible en ligne (pour enrichir votre portfolio). Soyez sûrs qu’en sortant de l’école, c’est un avantage si vous pouvez facilement montrer vos différents projets lors d’un entretien. Dites-vous que chaque projet scolaire réussi, en plus d’être récompensé par une bonne note, est un moyen de mettre en avant vos compétences.
Si vous avez des idées de projets personnels ou même des idées qui peuvent se transformer en « startup », la période scolaire est le meilleur moment pour les réaliser. Dites-vous que vous avez à disposition l’aide de plein d’étudiants et professeurs passionnés. Si vous avez une idée, c’est le moment de se lancer.
Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Oui, j’ai même travaillé sur des projets professionnels et personnels avec certains. Je suis même resté en contact avec certains professeurs.
Concernant votre parcours professionnel :
Votre formation vous a-t-elle permis d’atteindre vos objectifs professionnels ?
J’imagine être encore trop jeune pour avoir atteint mes objectifs professionnels mais en tout cas je suis sur la bonne voie. Depuis ma sortie d’école, j’ai pu travailler sur plusieurs postes/missions différents (toujours dans l’objectif de connaître un peu tous les domaines).
Parlez-nous de votre poste, de vos missions actuelles (CDI, mission…)
J’ai pu exercer différents métiers (développeur 3D Unity, chef de projet, auto-entrepreneur) et aujourd’hui Co-fondateur et CTO de la startup Immersive Ways. Je suis entré dans cette startup (à Station F) en tant que seul développeur Unity pour développer leur solution de logiciel de montage vidéo 360 et VR. Au fil du temps, nous avons pu agrandir l’équipe et je suis devenu CTO afin de diriger l’équipe technique. Aujourd’hui, je suis collaborateur de cette startup et nous souhaitons lancer un nouveau projet sur un tout autre secteur.
Est-ce que vous avez un projet qui vous a tenu en haleine durant quelques mois ? Si oui, pouvez-vous nous en parler ?
Je dirais que mon premier projet professionnel est celui qui m’aura le plus marqué. J’ai pu développer avec mon duo de projet de toujours (il a fait les 5 ans à l’ESGI comme moi), la cartographie 3D de la course de bateaux « Vendée globe 2016 ». L’objectif était de recevoir les informations de positions, météo, hauteur des vagues etc, afin de voir en direct la position de ces bateaux sur le globe ou même d’obtenir une simulation 3D d’un bateau sélectionné dans des conditions climatiques réelles. Ce fut mon premier projet avec une équipe super motivée, à travailler ensemble d’arrache-pied jusqu’au départ de la course. Mais en soit, chaque projet sur lequel j’ai travaillé était vraiment intéressant et a permis un gain de compétences énorme dans plusieurs domaines.
Quels outils/logiciels spécifiques utilisez-vous pour vos projets ? Si vous ne deviez recommander qu’un seul logiciel, ce serait lequel ?
Même si aujourd’hui je m’éloigne de ce domaine, je resterai fidèle aux outils de 3D et jeux vidéo et plus particulièrement Unity ! Si vous êtes passionnés de 3D et jeux vidéo, créez le vôtre facilement avec cet outil.
Quelle(s) avancée(s) technologique(s) attendez-vous avec impatience ?
Avec ma profession actuelle, j’ai pu apprécier de très bons jeux/expériences en réalité virtuelle. J’espère que cette technologie continuera d’évoluer et de se démocratiser.
- Elisabeth Ly Gouvernance cybersécurité Lire<>
Elisabeth Ly
Elisabeth LyGouvernance cybersécuritéPrésentez-vous-en quelques mots…
Je m’appelle Elisabeth Ly, 30 ans et je m’occupe actuellement de la gouvernance Cybersécurité au sein d’Allianz France.
Après quelques années à l’étranger, je suis rentrée en France pour me former là où la Cybersécurité est la plus avancée.
Sinon, j’adore manger et pratique la boxe thaï.
Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?
J’ai intégré l’ESGI en 2012 pour un Bachelor et suis sortie en 2015 avec un Mastère en Sécurité Informatique.
Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
Les principaux avantages de la formation sont, à mon sens, l’aspect pratique très présent à l’ESGI contrairement à d’autres écoles qui proposent des cursus plutôt théoriques. Le fait de mettre en pratique la théorie permet d’avoir un apprentissage plus concret et rapide dans la mesure où la formation nous met face à des problématiques réelles du monde du travail ce qui nous permet de rester dans le concret.
Le second point fort de la formation est le corps enseignant. Les professeurs viennent directement du milieu professionnel et échanger avec eux m’a permis d’avoir un réel apprentissage du métier et des problématiques relatives à celui-ci et non pas un apprentissage uniquement académique.
Quel souvenir gardez-vous de vos années d’études au sein de l’ESGI ?
Je suis contente d’avoir finis mes études mais je garde de bons souvenirs dans l’ensemble, il y avait beaucoup d’entraide entre les professeurs et mes anciens camarades malgré la charge de travail conséquente. C’était plutôt une bonne ambiance, on est tous dans le même bateau et on rame ensemble !
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
Être curieux et avoir l’esprit critique, ce n’est pas parce qu’on vous donne une procédure à effectuer qu’elle fonctionnera forcément et que c’est la meilleure façon de faire.
Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Oui quelques-uns mais ayant vécu 3 ans à l’étranger après mes études, c’était compliqué.
Concernant votre parcours professionnel :
Parlez-nous de vos missions actuelles. (CDI?, mission…)
Je suis actuellement en CDI chez Allianz France dans l’équipe du RSSI qui est en charges de la gouvernance Cybersécurité. Pour résumé, je construis des processus, les fais appliquer et m’assure qu’ils le sont au quotidien. Le tout ayant pour but de limiter les risques encourus pour Allianz France.
Quels outils/logiciels spécifiques utilisez-vous pour vos projets ? Si vous ne deviez recommander qu’un seul logiciel, ce serait lequel ?
Excel, ça parait bête mais c’est un outil très puissant.
- Kévin Rue Techlead DevOps Lire<>
Kévin Rue
Kévin RueTechlead DevOpsPrésentez-vous-en quelques mots…
Je m’appelle Kevin RUE, je suis passionné par les nouvelles technologies et l’informatique de manière générale. J’ai la chance d’avoir un père qui m’a transmis sa passion pour l’informatique depuis mon plus jeune âge.Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?
J’ai intégré l’ESGI après avoir passé mon BTS SIO et ma Licence Professionnelle en 2015. J’ai suivi le cursus Systèmes, Réseaux et Cloud Computing (filière SRC) en alternance sur deux ans au sein des équipes Infrastructure à la Société Générale.Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
J’ai apprécié l’enseignement à l’ESGI pour une raison simple : l’enseignement provient de professeurs qui ont une expérience terrain : des missions en prestations au sein de grandes entreprises et banques françaises. Beaucoup ont su nous apporter un background technique et, à la sortie de l’école, cela nous a permis de rentrer plus aisément dans le monde du travail. J’ajouterai également que toute l’équipe pédagogique a su nous guider durant ces deux années passées à leurs côtés dans un but bien précis : la réussite. L’alternance, a pour ma part, financé mes frais de scolarité ce qui est une chance en France, on a souvent tendance à l’oublier. Dans certains pays il faut financer soi-même ses études, la France et l’ESGI nous ont permis de sortir diplômés avec une réelle plus-value sur le terrain dès l’embauche.Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
Soyez passionné par ce que vous faites et ce que vous entreprenez de manière générale, on a la chance de pouvoir faire de sa passion son travail et ce n’est pas donné à tout le monde. Alors donner le meilleur de vous-même maintenant ne pourra être que bénéfique plus tard.Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?
Bien sûr, j’ai gardé contact avec plusieurs personnes de ma promotion avec lesquelles j’échange sur les nouvelles technologies et notamment le DevOps car c’est le métier si passionnant que je fais aujourd’hui.Concernant votre parcours professionnel :
Parlez-nous de votre métier actuel.
Actuellement je travaille chez FONCIA GROUPE au sein de la cellule DevOps Expertise ou je suis rattaché au directeur de Production. Mon métier est d’une part de simplifier la vie des exploitants afin de leur éviter des taches d’exploitations récurrentes et fastidieuses en développant des outils IAC (Infra As Code).D’autre part, je dois construire l’infrastructure de l’entreprise de demain (en Datacenter ou dans le Cloud) en industrialisant le déploiement des applications. Je travaille en étroite collaboration avec les études qui est le département responsable des développements applicatifs au sein de la DSI. Mon travail est à la fois porté sur l’infrastructure et transverse car j’ai un devoir d’accompagnement entre les études et les exploitants. Le but étant d’industrialiser tous les processus de livraison de l’entreprise et cela passe avant tout par la communication et la technique.
Qu’est-ce-qui vous a donné envie de choisir ce métier et cette entreprise ?
J’ai rejoint les équipes IT de Foncia car c’est un secteur que je ne connaissais pas du tout. J’ai effectué des stages dans une entreprise pharmaceutique, une alternance dans un institut de recherche universitaire dans le public, puis dans la banque. J’ai signé à la sortie de l’ESGI mon premier CDI dans une entreprise de jeux en ligne et en point de vente : Le Pari Mutuel Urbain, autrement appelé le PMU. L’immobilier était donc un secteur nouveau et novateur pour ma part qui a attiré ma curiosité.Quelles sont les qualités indispensables pour faire votre métier ?
Il faut être à l’écoute des besoins de l’entreprise, c’est un critère essentiel car l’objectif premier du DevOps est de comprendre les enjeux métiers et les besoins applicatifs de son entreprise. Il doit travailler en étroite collaboration avec les architectes, les développeurs et la production.Pouvez-vous nous parler d’un projet qui vous a marqué ?
Le projet qui m’a le plus marqué est la migration du mainframe sur des environnements LINUX et AIX. C’est un projet qui s’est terminé quand j’ai rejoint les équipes IT du PMU. Il a fallu, pour beaucoup de collaborateurs, se réinventer, se challenger et se former : pas toujours évident quand vous travaillez avec des gens qui sont proches de la retraite. Aujourd’hui je suis jeune, j’ai cette appétence de vouloir continuellement apprendre et me réinventer, ce n’est pas dit qu’à 50 ans j’ai ce même dynamisme.Cela a été une très belle aventure ce projet au PMU. J’ai pu accompagner les équipes pour travailler sur des nouveaux systèmes en contribuant à la mise en place d’une stack d’intégration continue : ce sont toutes les méthodes de travail historique qui ont changées et qui doivent se réinventer.
Quelles sont les principales difficultés que vous rencontrez dans votre quotidien professionnel ?
Le métier de Devops qui a comme principal but le conseil et l’expertise technique nous oblige à nous réinventer chaque jour. Je dirai que c’est un processus qui est fastidieux car vous avez tout juste le temps de maitriser une nouvelle technologie qu’elle est déjà obsolète ou remplacée par une nouvelle. Il faut être autonome pour se réinventer et redévelopper les modèles de demain.Quels outils/logiciels spécifiques utilisez-vous pour vos projets ? Si vous ne deviez recommander qu’un seul logiciel, ce serait lequel ?
A l’origine, je suis ingénieur système Linux, j’ai évolué dans le monde du Devops. Il faut avoir de bonnes connaissances en scripting, au moins maitriser bash et un autre langage comme Python ou Go.J’utilise quotidiennement Gitlab pour versionner le code que les collaborateurs de l’entreprise produisent et nous utilisons aussi des outils d’intégration continue comme Ansible ou Terraform pour déployer nos applicatifs dans nos datacenter et dans le cloud.
Quelle(s) avancée(s) technologique(s) attendez-vous avec impatience ?
Dans une ère de plus en plus digitalisée, j’ai hâte de voir la suite sur l’intelligence artificielle (IA) qui va, à mon avis, bousculer encore plus notre manière d’agir et de penser au quotidien. - Nicolas Roche Bionomeex Lire<>
Nicolas Roche
Nicolas RocheBionomeexParlez-nous de votre poste actuel et de vos missions ?
Je travaille actuellement à Montpellier, dans la startup Bionomeex, qui réalise des recherches en Intelligence Artificielle. Mes missions consistent à la lecture d’articles scientifiques, à implémenter les algorithmes des papiers de recherche et à analyser des images via des microscopes. Nous sommes constamment en lien avec des chercheurs en biologie.
Selon vous, quelles sont les qualités indispensables pour faire ce métier ?
Je pense qu’il faut être passionné. On fait de la recherche, il faut donc avoir certaines compétences et aimer le challenge car c’est assez compliqué dans le sens où il n’y a pas beaucoup de ressources et il faut faire preuve d’esprit d’analyse.
Que vous a apporté votre formation à l’ESGI ?
Ma formation m’a apporté beaucoup de choses positives, grâce aux cours et à l’alternance. J’ai fait mon Bachelor et mon Mastère à l’ESGI pendant 5 ans. L’école m’a enseigné toutes les bases en informatique et la spécialisation, à partir du Mastère, m’a vraiment fait monter en compétences.
L’alternance en entreprise m’a permis de mettre en application mes connaissances fraichement acquises, d’enrichir mes expériences et de pouvoir trouver rapidement un emploi à la fin de mes études. Le rythme alterné permet de gagner davantage en maturité par rapport à ceux qui sont en initial. J’ai également pu m’habituer dès le début à avoir des responsabilités.
Qu’est-ce que vous ont apportées vos expériences passées ? Et que vous ont apportées vos expériences en alternance ?
Ma première expérience en stage m’a fait découvrir que j’aimais beaucoup le monde de l’entreprise. Cela m’a donc poussé à réaliser une formation en alternance, au sein de l’ESGI. Je voulais pouvoir travailler toute l’année en entreprise et pas seulement pendant une courte période.
J’ai eu la chance de pouvoir me spécialiser dès mon Mastère. L’ESGI propose un large choix de formations et tout le monde a la possibilité de trouver celle qui lui convient. Pour conclure, je peux dire que grâce à l’ESGI, j’ai facilement trouvé ma voie.
Quel projet vous a le plus marqué ?
Dans nos cours de spécialisation, nos intervenants nous faisaient réaliser des projets de recherche, qui ont été très valorisés lors de mes recrutements. Le projet « Kaggle » par exemple, durant lequel nous devions analyser des photos animalières, m’a beaucoup apporté.
Un conseil pour les futurs jeunes diplômés ?
L’une des premières choses, c’est de tenter l’alternance car c’est une bonne opportunité pour se former.
La deuxième chose serait qu’il ne faut pas hésiter à s’investir à fond dans ses études.
A l’ESGI, il y avait beaucoup de laboratoires et la majorité des intervenants sont des anciens élèves de l’ESGI ou des professionnels extérieurs. La force de cette formation est certainement qu’on peut échanger avec eux, de manière professionnelle et c’est très enrichissant. Je suis devenu passionné grâce à ces rencontres. Nous avons besoin, en tant qu’élève, d’avoir des conseils et les professeurs sont disponibles et à l’écoute pour nous aider.
- Amrta Devy Balasoupramaniane Data Engineer Lire<>
Amrta Devy Balasoupramaniane
Amrta Devy BalasoupramanianeData EngineerPrésentez-vous en quelques mots…
Je m’appelle Amrta Devy, j’ai 23 ans et je suis une vraie passionnée d’informatique !
Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?
J'ai intégré l’ESGI en Premier Cycle, juste après l’obtention de mon baccalauréat en 2016, et j’ai choisi d’intégrer la filière Intelligence Artificielle et Big Data à la fin de ma 2ème année.
Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?
Afin de répondre parfaitement aux besoins des organisations, le programme de la filière couvre l’ensemble des métiers présents dans le domaine de la Data Science, Data Analyse, et du Data Engineering. Constamment mis à jour, celui-ci nous permettait non seulement d’être à la pointe des nouvelles technologies mais également d’appliquer directement ce que nous avons appris en cours dans le cadre de projets en entreprise grâce à l’alternance.
Je trouve aussi que la vie de campus nous permet de créer un réseau professionnel beaucoup plus facilement au travers des nombreuses associations, des conférences organisées au sein de l’école et des divers échanges que l’on peut avoir avec les intervenants de l’école.
Parlez-nous de votre poste actuel et de vos missions (journée type) :
Je suis actuellement Data Engineer chez AXA France et je m’occupe de préparer et traiter les données en fonction de la demande métier. En général, je commence ma journée par un Daily avec les Product Owners de mes projets pour communiquer les avancements des projets ainsi que les points de blocages. Ensuite je continue le développement des différents tickets (use-cases) rédigés par les PO. Dans le cas où les tests de développement sont terminés, nous validons les développements effectués avec le PO avant de préparer l’instauration des uses-cases dans les divers environnements de travail (dev, recette, preprod, prod) etc ..
Comment avez-vous trouvé votre poste actuel ?
J’ai pu envoyer ma candidature au service de recrutement d’AXA lors d’une conférence à l’école. Après plusieurs entretiens, j’ai pu obtenir le poste que j’occupe aujourd’hui.
Parlez-nous de vos expériences en alternance passées (chez 3Ci Solutions et Natixis), que vous ont-elles apportées ? (personnellement/professionnellement)
Grâce à l’ESGI, j’ai eu la chance de vivre deux expériences d’alternance inoubliables.
Que ça soit au sein de 3Ci Solutions ou de Natixis, je suis tombée sur de formidables tuteurs qui, de par leur pédagogie, m’ont aidé à exploiter pleinement mon potentiel dans des projets d’équipe.
Grâce à cela, j’ai pu, d’une part, approfondir mes compétences techniques sur le terrain de l’entreprise tout en enrichissant mon CV et d’autre part, développer mon réseau à travers des rencontres enrichissantes tout au long de mon parcours.
Quelles sont les qualités indispensables pour faire votre métier ?
Être bon communiquant, avoir un esprit d’analyse et de synthèse, avoir le sens de l’organisation et avoir l’esprit d’équipe sont les qualités humaines que je définirais essentielles pour être Data Engineer.
En ce qui concerne les compétences techniques, je dirais que la maîtrise de SQL et du framework SPARK (en scala ou en python) est primordial pour un Data Engineer. La connaissance de l’environnement HADOOP est très conseillée aussi.
Quels outils/logiciels spécifiques utilisez-vous pour vos projets ? Si vous ne deviez recommander qu’un seul logiciel, ce serait lequel ?
Pour mes projets, j’utilise essentiellement git pour assurer un développement continu. Etant donné que je développe essentiellement en Python, je dirais l’IDE Pycharm.
Avez-vous une anecdote à nous raconter ? (sur une réunion, premier entretien, projets de cours)
Lors d’un entretien pour ma recherche de CDI, j’ai eu l’occasion d’exposer le schéma technique de mon projet annuel : “Watchbot ” un outil d'analyse et traitement des données d'objets connectés (montre connectée) en temps réel, ayant pour but de fournir des réponses à des questions de l'utilisateur grâce à des graphiques. Captivés par mes explications, les recruteurs me posaient énormément de questions sur le projet en cours ainsi que les étapes d’acheminement.
Ce que j’essaye de dire à travers cette anecdote, c’est qu’il ne faut surtout pas hésiter à mettre en avant vos projets annuels de fin d’année de manière professionnelle lors de vos entretiens. Ce n’est que de la valeur ajoutée à votre profil.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?
Soyez curieux et créatif dans vos projets ! Investissez-vous à fond dans vos études !
- Rémy Noël Responsable de développement logiciels Lire<>
Rémy Noël
Rémy NoëlResponsable de développement logiciels - Ilies Lebcir Lead Developer - Promo 2019 Lire<>
Ilies Lebcir
Ilies LebcirLead Developer